Aux professionnels assermentés par la Direction de l’environnement, il faut ajouter les plaisanciers, essentiellement autour de Tahiti et de Moorea.
Pendant la saison la plus propice à l’observation des baleines à bosse, Mata Tohora a pu compter jusqu’à 21 bateaux autour d’une baleine avec son baleineau et 48 personnes dans l’eau entourant les animaux. En Polynésie, le nombre de bateaux et de nageurs n’est en effet pas limité. L’évolution du whale watching inquiète l’association. Au-delà de son travail de terrain, Mata Tohora, en partenariat avec deux groupes de danseurs, Taka Iki et Kaipeka Ote, ont lancé un haka pour les cétacés. Cette belle opération de sensibilisation rappelle tout le respect porté par la culture polynésienne à cette espèce emblématique et invite à poursuivre ces traditions.
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